Oh. Mon. Dieu.
Je crois que j’ai fini (Nilgir 4, de son petit nom, La Forteresse de Gemme de son titre complet).
Ça ne se termine pas du tout sur une scène prévue, je ne suis pas sûre d’avoir fermé toutes les portes, pourtant je crois que je tiens ma fin. Une fin ouverte, parce qu’au fond, je ne sais pas faire autrement.
Mais une fin*.
*On parle de premier jet, hein, maintenant faut corriger, parce que je n’ai jamais produit un bazar pareil. Je crois que je vais devoir commencer par construire des étagères pour ranger tout ça.
Crédit photo : ben o’bro sur Unsplash
Bravoooo ! ça doit faire tout drôle de poser le point final d’une histoire sur laquelle on travaille depuis des années… Bon courage pour les étagères XD
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Merciiii ! Oui, c’est dur dur de tourner une page pareille, heureusement que j’ai les corrections pour prolonger le temps qui me reste dans cet univers ^^
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Moi j’ai encore deux tomes à écrire avant de ressentir ça, ouf ! Oui, ouf, car il y a un certain déchirement aussi, je pense, à laisser ses persos « voguer » comme ils l’entendent. Comme lorsque tu es parent et que tu vois tes enfants grandir et s’épanouir… hors de ta présence. ♥
En tout cas, bravo pour avoir terminé le 1er jet. Cela veut dire que le jour se rapproche où je pourrai connaître la fin de l’histoire moi aussi ! 🙂
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Ce qui me rappelle que je dois faire une fiche de lecture sur Citara… ❤ ❤ ❤
Et je confirme, terminer une série, c'est aussi accepter que l'histoire ne t'appartienne plus, aussi bien ce qui est scénarisé que ce qui n'apparaît pas sur les pages. Enfin, dans mon cas, je ne suis pas une Virginie, qui teste l'entre-deux pages de ses romans au fur et à mesure de l'écriture 😉
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Je suis convaincue qu’il y a toujours une part de nous dans chacun de nos personnages… À moins que ce ne soit l’inverse. 😉
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