L’écriture, ça vous change la vie… et pas que par la place qu’elle occupe dans un emploi du temps ! Florilège de choses que je ne faisais pas avant d’écrire, mais qui sont devenues mon quotidien…
1) Je me lève plus tôt
C’est la seule méthode qui marche pour moi, pour écrire dans la durée. Attendre la fin de la soirée, quand les tâches ménagères sont terminées, que le travail de la journée est loin derrière moi… Non, désolée, je n’ai plus de temps de cerveau disponible, je veux me prélasser dans mon canapé, regarder une série ou un film, me plonger dans un bouquin ou faire des chatouilles à Petitchat ou Grandchat, s’il y en a encore un réveillé.
2) Je regarde le nom des maisons d’édition sur les livres
Ça ne m’arrivait jamais, avant. Et même, je ne connaissais pas toujours le nom de l’auteur, quand je cherchais un livre pour une raison ou pour une autre. Alors que maintenant, TOUJOURS. Je crois qu’on appelle ça de la déformation professionnelle 😉
3) J’ai enfin un prétexte pour accumuler la papeterie
Ceci n’est PAS un message subliminal en rapport avec cette période de l’année. Je ne suis PAS DU TOUT friande de carnets, de toutes les tailles, de toutes les formes, de stylos de couleurs improbables, de crayons à la mine toute soyeuse. D’ailleurs, je n’ai rien de tout ça à la maison. Et JAMAIS ça ne m’arrive de scruter le rayon des cahiers pendant mes courses, en pensant à mon nouveau projet sur le point d’éclore.
4) On me prend pour La référence en langue française
« Dis, c’est quoi la définition d’une prétérition ? »
« Compte-rendu au pluriel, tu l’écris comment ? »
5) J’ai une pile à lire toujours plus monumentale
La pile à lire ou PAL, ça dit bien ce que ça veut dire, je crois. C’est un terme de plus en plus en vogue chez les rats de bibliothèque.
Depuis que j’écris, je me documente. Donc je lis beaucoup plus de « non-fiction ». Et je connais de plus en plus d’auteurs, certains sont des amis. Et en plus, je cherche à mieux connaître les différents éditeurs des genres dans lesquels j’écris. Ce qui fait que j’ai actuellement dans ma PAL vingt-et-uns livres, sans compter la liste de ce que j’aimerais emprunter à la bibliothèque ou m’acheter quand ce n’y est pas.
De temps en temps, j’ai l’occasion de faire baisser le niveau, les vacances qui approchent vont m’aider (youpiiiii).
6) Je choisirai bien plus de prénoms que vous (sauf si vous êtes auteur aussi)
À la louche, je dirais que j’ai dû nommer plus d’une vingtaine de personnages dans L’oeil de Tolmuk. Chaque nouveau texte, roman ou nouvelle, est l’occasion d’en rajouter, je ne dois pas être loin de la centaine au total (en comptant les écrits non publiés à ce jour).
À la semaine prochaine pour le dernier article de l’année.
Crédit photo : Brandi Redd sur Unsplash
Ha ha ! Je me suis retrouvée dans plusieurs points ! 😉
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Je ne suis donc pas seule !! ^^
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Je n’ai malheureusement pas des milliers de beaux carnets. J’en ai un et il est moche. Mais des notes volantes, à, ça…
Des millions !
Elles se promènent dans mes affaires et essaient de se faire lire du mieux qu’elles le peuvent, les pauvres xD
Se lever tôt : j’ai essayé, principalement dans le cadre du miracle morning. Quand tes enfants se grimpent dessus dès le lever du jour, je confirme : c’est la seule stratégie.
Les prénoms, également. Ah… Quelle joie que de noter des noms qui n’existent pas sur des post it à la moindre occasion !
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Contente de voir que mon quotidien te parle, bienvenue par ici et bonne année au passage !
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